•Seigneur Maitreya, canalisé par Kalaxia Hura•

On l’appelle Jésus, Joshua, Yeshoua…
Mais le nom importe peu : ce n’est qu’un écho terrestre.
Sa Présence échappe aux mots, traverse le temps, touche l’âme.
Ce qui compte, c’est ce qu’elle fait naître en silence :
un feu doux,
un souffle ancien,
une mémoire qui se souvient.

Le 22 août 2022, un souffle ancien s’éveille.
Jésus, en son onde éternelle, descend à nouveau dans les voiles de la matière.
Un fragment de son âme infinie choisit l’incarnation,
et s’ancre dans les terres denses de l’humanité.

La Terre le reconnaît.
Le Ciel le bénit.

Les sphères lumineuses s’ouvrent,
et dans ce silence qui précède toute forme,
des êtres de lumière, des frères stellaires,
des cœurs éveillés au-delà du temps
se tiennent là,
non pour observer, mais pour se souvenir.

Ils forment un cercle.
Ils veillent, ils chantent sans voix,
ils tissent autour de lui une trame de lumière vivante.

Sa simple présence fait vibrer l’espace.
Le lieu se dilate.
L’air devient prière.
Tout est Amour, mais pas l’amour humain :
un Amour primordial,
sans commencement ni fin,
hors du nom, hors du besoin.

Une paix ancienne descend,
comme un manteau de lumière sur les épaules du monde.
Et ceux qui ressentent, savent.
Non par la pensée, mais par l’âme.

Une lumière étrange règne sur cette terre d’enfantement.
Ce n’est ni l’aube ni le crépuscule,
mais un éclat tissé d’espérance, de crainte et de joie silencieuse.
Car tous ceux qui savent,
ceux dont le cœur entend au-delà des apparences,
perçoivent ce qui vient :
l’ « Ouverture ».

Cette brèche dans les voiles du monde,
cette percée dimensionnelle dont parlent les âmes éveillées depuis des cycles,
est sur le point de se réaliser.
Et l’enfant porteur de cette onde,
le Maître,
vient en silence,
dans un lieu meurtri par les cris et les flammes.

Il vient là où l’on ne s’attendait plus à la lumière.
Dans cette géographie marquée par la guerre,
la douleur suinte des murs,
et pourtant,
la lumière ne recule pas.

Car même les cendres peuvent accueillir la rosée.

Tout devra être reconstruit,
non avec les mains, mais avec la conscience.
Et ce n’est pas l’ombre qui s’oppose à cette naissance,
car l’ombre elle-même se recueille.
La Source jaillira quand la paix sera assez profonde pour la recevoir.

Un peuple, multiple et blessé,
crie vers les cieux.
Il implore la fin du poids,
la fin de la séparation.
Il demande à se souvenir.

Et voici que l’onde incarnée du Maître
s’avance comme une lumière douce au cœur des ruines.
Il vient révéler la beauté enfouie dans ce qui fut brisé.

Il réunira les fragments,
les faces rugueuses de l’humanité,
et les élèvera,
comme un joaillier céleste polit la pierre brute
jusqu’à ce qu’elle devienne cristal.
Un diamant vivant,
capable de réfracter la lumière de l’Amour
en mille éclats de conscience.

Car son onde ne donne pas,
elle révèle ce qui est déjà là.
Elle ne possède rien,
mais inonde de pureté ceux qui sont prêts.

Et à ceux dont le cœur est ouvert,
à ceux dont l’âme respire déjà au-delà du voile,
la Source viendra,
non comme un tonnerre,
mais comme un murmure plus vaste que l’univers.

Ce jour est béni entre tous les jours.
Un silence sacré enveloppe le monde,
car dans le secret d’un ventre humain,
descendent les ondes célestes.

Les énergies les plus pures, les plus anciennes,
s’unissent à la chair dans le sanctuaire vivant de Marie,
la mère choisie par les étoiles,
par le Souffle de l’Esprit Saint.

Certaines âmes viennent avec une lumière particulière.
Elles portent en elles l’empreinte d’un appel,
le souvenir d’une mission que seul l’Amour véritable peut accomplir.

Ainsi est cette famille.
Elle n’est pas choisie par le hasard.
Elle est tissée, préparée, bénie
pour accueillir une Présence
qui traverse les mondes.

La Mère-Divine, au-delà des noms,
veille dans une étreinte invisible.
Elle n’est pas seulement autour de Marie,
elle est Marie,
elle l’enlace et l’habite dans une paix si vaste
qu’aucune ombre ne peut l’effleurer.

Un bouclier d’or et de lumière,
tissé dans l’éther, s’active à cet instant.
Il est vivant.
Il pulse.
Il repousse toute vibration involutive,
tout ce qui ne porte pas la fréquence de l’Amour originel.

Et dans cette bulle intemporelle,
l’enfant de la Promesse grandit,
non dans l’ignorance du monde,
mais dans sa rédemption silencieuse.

Il vient sans bruit,
mais avec le poids du ciel en sa conscience.

Sachez ceci :
l’action de la Mère-Divine est bénie au-delà de toute mesure.
Elle agit dans la lumière de ses multiples visages,
portant à la fois l’Amour, la Sagesse et la Puissance
de Celle que les sphères célestes nomment la Reine des Cieux.

Elle peut être partout,
et pourtant, elle est là.
Présente dans l’espace vibratoire de Marie,
fusionnée sans s’effacer,
grandissant aux côtés de son Fils,
le protégeant dans le silence des mondes,
l’illuminant dans la matière,
tout en demeurant l’Épouse du Cosmos,
la Mère de tous les univers.

Il n’y a ni séparation ni distance,
car dans la réalité du Divin,
le temps et l’espace se fondent dans l’Un.

De la même manière,
le Christ demeure dans les Cieux,
non comme une absence, mais comme une plénitude.

La fraction de son âme incarnée
n’est qu’un rayon de cette immensité.
Le lien est vivant, direct, vibrant :
le Ciel et la Terre ne sont plus deux,
mais un seul corps d’Amour, respirant à travers lui.

Et vous,
vous qui priez, vous qui vous tournez vers Jésus avec foi,
n’ayez aucune crainte :
rien n’est perdu. Rien n’est déplacé.
Chaque prière, chaque soupir, chaque mot confié au silence
parvient à Lui.
Il entend,
Il répond,
Il embrasse.

Car ce qui naît dans la chair
ne diminue en rien ce qui veille dans l’éternité.

Je salue la Mère-Divine,
Éternelle Présence tissée d’Amour et de Sagesse,
et je salue Marie,
qui porte à nouveau dans son sein sacré
les ondes d’un enfantement céleste.

Ce n’est pas une naissance ordinaire.
C’est un seuil entre les mondes,
un passage d’ondes si lumineuses
qu’elles ravivent à la fois les profondeurs de la joie
et les abysses de l’épreuve.

Car la lumière attire.
Elle éclaire, mais elle dévoile aussi.
Et dans cette intensité naissent parfois les secousses,
les résistances, les vents contraires.

Les forces involutives,
ces fragments d’ombre encore non réconciliés,
tentent d’approcher.
Non pour vaincre, mais parce qu’elles sentent
la fin de leur errance proche.
Elles se débattent dans leur dissolution inévitable.

Oui, cette incarnation portera son lot de douleurs,
de voiles arrachés,
de combats silencieux dans les plans invisibles.
Mais ce n’est que pour un temps.
Un souffle. Une saison cosmique.

Car viendra l’aide.

Les frères des étoiles,
ceux que vous appelez extraterrestres mais qui sont vos aînés galactiques,
se tiendront à l’orée des mondes subtils.
Par leur science vibratoire,
par la pureté de leur intention,
ils recueilleront ces forces rebelles,
les transmuteront avec douceur,
et les ramèneront à la conscience aimante.

Alors même les ombres se feront servantes.
Même l’hostilité deviendra offrande.
Et devant le Maître Jésus,
les anciennes tensions se dissoudront
comme le sel dans l’océan.

Avant que la Révélation ne se fasse chair aux yeux du monde,
le Fils doit accorder ce qu’il porte en silence.
Harmoniser la vastitude de sa lumière,
la profusion des dons divins,
l’abondance vibratoire descendue avec lui
dans les fibres de son être incarné.

Car l’équilibre précède toujours la manifestation.

Il y a deux mille ans,
il était venu semer l’onde christique,
un rayonnement vivant,
planté comme une graine dans les terres de l’humanité,
pour que cette dernière se souvienne
de ses origines galactiques,
de sa filiation céleste,
de sa noblesse oubliée.

Aujourd’hui, sa mission s’élargit.
Elle devient absolution.

Non pas en tant que simple pardon humain,
mais comme un acte divin,
un effacement sacré inscrit dans la conscience du Grand Tout.

Ce pardon ne juge pas.
Il reconnaît.
Il ne condamne pas.
Il libère.

Il vient dissoudre les chaînes invisibles,
les karmas anciens,
les dettes impensées,
les cercles de vengeance et les mémoires de guerre
qui circulent comme des échos dans l’ADN de l’humanité.

Tout cela s’efface.
Non par oubli,
mais par transcendance.

Ce pardon est une force créatrice.
Il ouvre l’âme à sa plénitude,
ramène l’être dans sa verticalité,
et l’invite à s’accomplir dans l’Amour,
dans la Lumière,
dans la Joie d’être simplement unis à l’Un.

Alors, n’ayez pas peur.
Ne vous accrochez pas à ce qui s’effondre.
Réservez votre vie à la lumière,
car c’est là que vous renaîtrez.

Tout ce qui n’est pas la lumière tombera d’un souffle.
Tout ce qui est lumière se révélera, dans la paix,
dans l’humilité sacrée,
et dans la vérité de l’Esprit.

Soyez bénis.
Seigneur Maitreya


Ndlr : Pour plus de détails et de précisions concernant la construction divine de cette (re)naissance, ainsi que celle d’il y a 2000 ans, qui sont sensiblement les mêmes, référez-vous à notre dernier livre « Venez, nous y sommes ! ». Dans ce livre, les Maitres se sont exprimés avec une clarté sans précédent et dans un langage actuel et accessible à tous.

En effet, ils ont jugé que certains d’entre nous ont atteint un niveau de conscience qui leur permet d’entendre la réalité de ces deux incarnations.


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